C’est en juin 2017 que nous avions alerté la municipalité sur le manque de fermeté quant à la convention des Transports signée avec la Métropole. Nous n’avons pas été écoutés. Ce qui devait arriver, arriva.
Voilà des mois que les parents d’élèves, les élus de ville et le Conseil Départemental tentaient de trouver un terrain d’entente, afin que les futurs collégiens des Pennes-Mirabeau n’aient pas à se rendre à Camille CLAUDEL.
Le Front National des Pennes-Mirabeau excelle dans le mensonge ! Depuis de nombreux mois, le FN tente par diverses manipulations, de faire croire que nous sommes en adéquation avec l’ensemble des décisions prises par la majorité de Mme SLISSA et son Premier Adjoint.
Coup de tonnerre il y a quelques mois lorsque le Conseil Départemental annonçait que la nouvelle carte scolaire obligerait les enfants du secteur du Repos et de Palières à se rendre dès septembre 2017 à Camille CLAUDEL (collège de Vitrolles classé REP), et non plus à Simone de BEAUVOIR.
Enfin ! Vincent PEILLON et NAJAT VALLAUD-BELKACEM vont emmener dans leurs valises la réforme des rythmes scolaires tant décriée par la quasi-unanimité du corps enseignant et des parents.
Le mardi 24 janvier dernier, en plein déjeuner, « plusieurs individus se sont introduits au cœur de l’école de la Gavotte, pour y dérober cartables et autres effets personnels ». Si le risque 0 n’existe pas, les parents d’élèves dénoncent l’immobilisme de la municipalité face à une intrusion qui « aurait pu être dramatique ».
C’est un conseil municipal désolant auquel nous avons participé pour ce dernier de l’année 2015. Alors que nous espérons encore et toujours un travail commun sur des projets porteurs pour la commune, M. le Maire et sa majorité ont excellé une nouvelle fois dans le dénigrement. Un comportement insupportable que nous avons soulevé.
La méthode est simple et rodée : refuser les élus ne faisant pas partie de la majorité dans l’intégralité des réunions de travail, pour ensuite crier haut et fort qu’ils ne travaillent pas sur les dossiers. Une situation inacceptable que nous avons décidé de dénoncer.
« Première victoire pour la laïcité ! », s’est félicité le maire Les Républicains de Chalon-sur-Saône. Le tribunal a considéré que « l’accès aux services de restauration scolaire de l’ensemble des usagers, y compris les enfants de confession musulmane, ne paraît pas compromis ».